en fait, c'est des romans de fantasy à éviter. ça s'appelle l'épée de vérité.
Je vous résume le livre (ils sont tous pareils):
y a des méchants très méchants qui font rien qu'à embêter les gentils.
Et plus ça avance dans le bouquin, plus ils sont méchants.
En fait, ils sont tellement méchants qu'on se dit qu'il ne peut rien arriver de pire au gentil zéro.
MAis OUI, il lui arrive toujours de pire en pire.
Et à la fin, alors qu'on se dit que cette fois c'est vraiment trop pire pour qu'il puisse s'en tirer, et le monde avec lui même, ben le gentil il renverse la situation IN EXTREMIS.
Mais le bouquin d'après c'est encore pire, de pire en pire qu'on se dit que pire c'est pas possible; eh bien OUI c'est encore plus pire possible.
mais à la fin, le gentil il gagne quand même parce que quand même, il est noble et gentil, et fort, et il baise bien, et il a un gros zizi (c'est vrai, je l'ai vu).
En fait, la créativité de l'écrivain, c'est de toujours trouver de pire en pire, un peu comme à la télé où les séries en rajoutent chaque fois un peu plus dans l'horreur de ce qu'ils nous montrent. ça évite d'être créatifs dans les scénarios.